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Notre entreprise est habilitée en tant qu'intervenant en prévention des risques professionnels. (IPRP) |
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Cadre légal et réglementaire | ||||||||||||||||
Nouveau Code du Travail | ||||||||||||||||
L'article L4121 du Code du Travail oblige les employeurs à prendre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs (L4121-1) sur la base des principes généraux de prévention (L4121-2) et rend obligatoire l'évaluation des risques (L4121-3).
En outre, l'employeur peut être condamné pour délit d'entrave si le Document unique n'est pas mis à la disposition des représentants du personnel (CHSCT ou délégués du personnel). Quant au refus de tenir le Document unique à la disposition de l'inspection du travail, il peut être sanctionné par l'amende prévue pour les contraventions de 3e classe (450 Euros), ou même dans certains cas par les sanctions pénales prévues pour le délit d'obstacle à contrôle (jusqu'à 3 750 Euros d'amende et/ou un an de prison, doublés en cas de récidive). A
tenir à la disposition (CT R.4121-4) Aficher un avis (CT R.4121-4) indiquant les modalités d'accès des travailleurs au document unique à une place convenable et aisément accessible dans les lieux de travail.
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Les documents suivants pourront être utilementréunis dans le même dossier que le Document Unique : | ||||||||||||||||
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L'analyse des risques réalisées par les institutions
représentatives du personnel (CT L4612-2). |
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Prévention
: les 9 obligations de l'employeur |
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Evaluer
ne suffit pas. La finalité de l'évaluation est la prévention
des risques professionnels. •
Eviter les risques. |
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Traditionnellement,
la faute inexcusable de l'employeur était reconnue
dans le cas d'une « faute d'une gravité exceptionnelle,
dérivant d'un acte ou d'une omission volontaire, de la conscience
du danger que devait en avoir son auteur et avoir été
la cause déterminante de l'accident ou de la maladie ».
La charge de la preuve incombait à la victime. |
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De
récentes décisions de la cour de cassation ont profondément
modifié ce cadre juridique. Désormais, c'est une présomption
de responsabilité qui pèse sur l'employeur qui est tenu
d'une obligation de sécurité de résultat à
l'égard de ses salariés. La survenance d'un accident du
travail ou d'une maladie professionnelle est de nature à engager
sa faute inexcusable, sauf s'il apporte la preuve qu'il a pris toutes
les précautions nécessaires pour les éviter ou
qu'il ne pouvait avoir conscience du danger auquel était exposé
son préposé ou que l'origine en est due à une cause
étrangère. Lorsque la faute inexcusable de l'employeur est reconnue, celui-ci devient responsable sur son patrimoine des conséquences de sa propre faute ou de celle d'un subordonné. Il est, dès lors, tenu de rembourser aux organismes sociaux les indemnités supplémentaires allouées aux victimes. L'évolution de la jurisprudence entraîne une nette augmentation du nombre de demandes et de reconnaissances en faute inexcusable et de leur coût pour les entreprises. C’est dire le soin particulier qui doit être apporté à la réalisation du document unique. |
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